12 février 2007
Winter University - 2ème édition
Oui!

Ce week end, 44% de la population portugaise s'est rendue aux urnes pour décider du statut de l'avortement dans ce pays.
60% des votants se sont exprimés en faveur d'une légalisation: enfin!
Félicitations à nos camarades de la JS portugaise, qui ont pour ainsi dire initié ce nouveau référendum 9 ans après l'échec de la dernière consultation, et qui ont joué un rôle de premier plan dans la campagne et dans ce succès.
22 janvier 2007
en regardant le 12 minutes de la RTBF...

19 janvier 2007
Silence, on tue!

Et l'urgence du jour est urgente depuis février 2003. Comme le rappelle, pour rapide introduction, deux articles du Monde Diplomatique, on en était déjà en juin 2006 à plus de 4 millions de personnes déplacées hors de cette région du Soudan, dans un conflit qui a longtemps menacé de s'internationaliser - avant de prendre toutes les allures du génocide pur et simple. Et, comme à l'accoutumée, la communauté internationale a réagi avec toute la détermination d'un banc de moules asthmatiques: tardive résolution de l'ONU, tergiversations sans fin autour du déploiement de casques bleus, etc.
Ce dimanche 21 janvier, veille d'une réunion des ministres européens des affaires étrangères, plusieurs personnalités politiques, dont les camarades Pierre Galand et Jean Cornil, appellent à manifester pour réclamer une intervention claire de l'Europe dans ce dossier.
Le MJS soutient la démarche et vous fixe rendez-vous dimanche 21, à 11h, au rond-point Schuman. Venez nombreux faire entendre votre voix!
18 janvier 2007
Fin de course pour le Tagawa...

Après un post destiné à l'édification de votre culture socialiste, revenons à quelque chose de bien ancré dans le réel.
11 janvier 2007
Einstein: Pourquoi le Socialisme

On va m'accuser de faiblesse et de recyclage à bon marché. Ou alors les esprits grincheux et un peu flemmards vont dire "non seulement il ne produit pas lui même, mais en plus il copie/colle des textes longs comme le bras pas du tout adaptés au format blog". Et je serais bien en peine de donner tord à qui que ce soit.
En attendant, c'est un texte fameux qu'il ne fait pas de mal de relire de temps à autre même si on ne le trouve pas partout non plus. Donc, paf, en avant, c'est parti. Bonne lecture et j'espère des commentaires (on peut rêver).
Albert Einstein, Pourquoi le socialisme ? , Conceptions scientifiques, morales et sociales, Bibliothèque de philosophie scientifique, Flammarion, Paris, 1952, pp. 125-132.
Pourquoi le socialisme ?
Est-il convenable qu’un homme qui n’est pas versé dans les questions économiques et sociales exprime des opinions au sujet du socialisme ? Pour de multiples raisons je crois que oui.
Considérons d’abord la question au point de vue de la connaissance scientifique. Il pourrait paraître qu’il n’y ait pas de différences méthodologiques essentielles entre l’astronomie, par exemple, et l’économie : les savants dans les deux domaines essaient de découvrir les lois généralement acceptables d’un groupe déterminé de phénomènes, afin de rendre intelligibles, d’une manière aussi claire que possible, les relations réciproques existant entre eux. Mais en réalité de telles différences existent. La découverte de lois générales en économie est rendue difficile par la circonstance que les phénomènes économiques observés sont souvent influencés par beaucoup de facteurs qu’il est très difficile d’évaluer séparément. En outre, l’expérience accumulée depuis le commencement de la période de l’histoire humaine soi-disant civilisée a été — comme on le sait bien — largement influencée et délimitée par des causes qui n’ont nullement un caractère exclusivement économique. Par exemple, la plupart des grands États dans l’histoire doivent leur existence aux conquêtes. Les peuples conquérants se sont établis, légalement et économiquement, comme classe privilégiée du pays conquis. Ils se sont attribués le monopole de la terre et ont créé un corps de prêtres choisis dans leur propre rang. Les prêtres, qui contrôlèrent l’éducation, érigèrent la division de la société en classes en une institution permanente et créèrent un système de valeurs par lequel le peuple fut dès lors, en grande partie inconsciemment, guidé dans son comportement social.
Mais la tradition historique date pour ainsi dire d’hier ; nulle part nous n’avons dépassé ce que Thorstein Veblen appelait " la phase de rapine " du développement humain. Les faits économiques qu’on peut observer appartiennent à cette phase et les lois que nous pouvons en déduire ne sont pas applicables à d’autres phases. Puisque le but réel du socialisme est de dépasser la phase de rapine du développement humain et d’aller en avant, la science économique dans son état actuel peut projeter peu de lumière sur la société socialiste de l’avenir.
En second lieu, le socialisme est orienté vers un but éthico-social. Mais la science ne peut pas créer des buts, encore moins peut-elle les faire pénétrer dans les êtres humains ; la science peut tout au plus fournir les moyens par lesquels certains buts peuvent être atteints. Mais les buts mêmes sont conçus par des personnalités animées d’un idéal moral élevé et — si ces buts ne sont pas mort-nés, mais vivants et vigoureux — sont adoptés et portés en avant par ces innombrables êtres humains qui, à demi inconscients, déterminent la lente évolution de la société.
Pour ces raisons nous devrions prendre garde de ne pas surestimer la science et les méthodes scientifiques quand il s’agit de problèmes humains ; et nous ne devrions pas admettre que les spécialistes soient les seuls qui aient le droit de s’exprimer sur des questions qui touchent à l’organisation de la société.
D’innombrables voix ont affirmé, il n’y a pas longtemps, que la société humaine traverse une crise, que sa stabilité a été gravement troublée. Il est caractéristique d’une telle situation que des individus manifestent de l’indifférence ou, même, prennent une attitude hostile à l’égard du groupe, petit ou grand, auquel ils appartiennent. Pour illustrer mon opinion je veux évoquer ici une expérience personnelle. J’ai récemment discuté avec un homme intelligent et d’un bon naturel sur la menace d’une autre guerre, qui, à mon avis, mettrait sérieusement en danger l’existence de l’humanité, et je faisais remarquer que seule une organisation supranationale offrirait une protection contre ce danger. Là-dessus mon visiteur me dit tranquillement et froidement : " Pourquoi êtes-vous si sérieusement opposé à la disparition de la race humaine ? "
Je suis sûr que, il y a un siècle, personne n’aurait si légèrement fait une affirmation de ce genre. C’est l’affirmation d’un homme qui a vainement fait des efforts pour établir un équilibre dans son intérieur et qui a plus ou moins perdu l’espoir de réussir. C’est l’expression d’une solitude et d’un isolement pénibles dont tant de gens souffrent de nos jours. Quelle en est la cause ? Y a-t-il un moyen d’en sortir ?
Il est facile de soulever des questions pareilles, mais il est difficile d’y répondre avec tant soit peu de certitude. Je vais néanmoins essayer de le faire dans la mesure de mes forces, bien que je me rende parfaitement compte que nos sentiments et nos tendances sont souvent contradictoires et obscurs et qu’ils ne peuvent pas être exprimés dans des formules aisées et simples.
L’homme est en même temps un être solitaire et un être social. Comme être solitaire il s’efforce de protéger sa propre existence et celle des êtres qui lui sont le plus proches, de satisfaire ses désirs personnels et de développer ses facultés innées. Comme être social il cherche à gagner l’approbation et l’affection de ses semblables, de partager leurs plaisirs, de les consoler dans leurs tristesses et d’améliorer leurs conditions de vie. C’est seulement l’existence de ces tendances variées, souvent contradictoires, qui explique le caractère particulier d’un homme, et leur combinaison spécifique détermine dans quelle mesure un individu peut établir son équilibre intérieur et contribuer au bien-être de la société. Il est fort possible que la force relative de ces deux tendances soit, dans son fond, fixée par l’hérédité. Mais la personnalité qui finalement apparaît est largement formée par le milieu où elle se trouve par hasard pendant son développement, par la structure de la société dans laquelle elle grandit, par la tradition de cette société et son appréciation de certains genres de comportement. Le concept abstrait de " société " signifie pour l’individu humain la somme totale de ses relations, directes et indirectes, avec ses contemporains et les générations passées. Il est capable de penser, de sentir, de lutter et de travailler par lui-même, mais il dépend tellement de la société — dans son existence physique, intellectuelle et émotionnelle — qu’il est impossible de penser à lui ou de le comprendre en dehors du cadre de la société. C’est la " société " qui fournit à l’homme la nourriture, les vêtements, l’habitation, les instruments de travail, le langage, les formes de la pensée et la plus grande partie du contenu de la pensée ; sa vie est rendue possible par le labeur et les talents de millions d’individus du passé et du présent, qui se cachent sous ce petit mot de " société ".
Il est, par conséquent, évident que la dépendance de l’individu de la société est un fait naturel qui ne peut pas être supprimé — exactement comme dans le cas des fourmis et des abeilles. Cependant, tandis que tout le processus de la vie des fourmis et des abeilles est fixé, jusque dans ses infimes détails, par des instincts héréditaires rigides, le modèle social et les relations réciproques entre les êtres humains sont très variables et susceptibles de changement. La mémoire, la capacité de faire de nouvelles combinaisons, le don de communication orale ont rendu possibles des développements parmi les êtres humains qui ne sont pas dictés par des nécessités biologiques. De tels développements se manifestent dans les traditions, dans les institutions, dans les organisations, dans la littérature, dans la science, dans les réalisations de l’ingénieur et dans les œuvres d’art. Ceci explique comment il arrive que l’homme peut, dans un certain sens, influencer sa vie par sa propre conduite et comment, dans ce processus, la pensée et le désir conscients peuvent jouer un rôle.
L’homme possède à sa naissance, par hérédité, une constitution biologique que nous devons considérer comme fixe et immuable, y compris les impulsions naturelles qui caractérisent l’espèce humaine. De plus, pendant sa vie il acquiert une constitution culturelle qu’il reçoit de la société par la communication et par beaucoup d’autres moyens d’influence. C’est cette constitution culturelle qui, dans le cours du temps, est sujette au changement et qui détermine, à un très haut degré, les rapports entre l’individu et la société. L’anthropologie moderne nous a appris, par l’investigation des soi-disant cultures primitives, que le comportement social des êtres humains peut présenter de grandes différences, étant donné qu’il dépend des modèles de culture dominants et des types d’organisation qui prédominent dans la société. C’est là-dessus que doivent fonder leurs espérances tous ceux qui s’efforcent d’améliorer le sort de l’homme : les êtres humains ne sont pas, par suite de leur constitution biologique, condamnés à se détruire mutuellement ou à être à la merci d’un sort cruel qu’ils s’infligent eux-mêmes.
Si nous nous demandons comment la structure de la société et l’attitude culturelle de l’homme devraient être changées pour rendre la vie humaine aussi satisfaisante que possible, nous devons constamment tenir compte du fait qu’il y a certaines conditions que nous ne sommes pas capables de modifier. Comme nous l’avons déjà mentionné plus haut, la nature biologique de l’homme n’est point, pour tous les buts pratiques, sujette au changement. De plus, les développements technologiques et démographiques de ces derniers siècles ont créé des conditions qui doivent continuer. Chez des populations relativement denses, qui possèdent les biens indispensables à leur existence, une extrême division du travail et une organisation de production très centralisée sont absolument nécessaires. Le temps, qui, vu de loin, paraît si idyllique, a pour toujours disparu où des individus ou des groupes relativement petits pouvaient se suffire complètement à eux-mêmes. On n’exagère pas beaucoup en disant que l’humanité constitue à présent une communauté planétaire de production et de consommation.
Je suis maintenant arrivé au point où je peux indiquer brièvement ce qui constitue pour moi l’essence de la crise de notre temps. Il s’agit du rapport entre l’individu et la société. L’individu est devenu plus conscient que jamais de sa dépendance de la société. Mais il n’éprouve pas cette dépendance comme un bien positif, comme une attache organique, comme une force protectrice, mais plutôt comme une menace pour ses droits naturels, ou même pour son existence économique. En outre, sa position sociale est telle que les tendances égoïstes de son être sont constamment mises en avant, tandis que ses tendances sociales qui, par nature, sont plus faibles, se dégradent progressivement. Tous les êtres humains, quelle que soit leur position sociale, souffrent de ce processus de dégradation. Prisonniers sans le savoir de leur propre égoïsme, ils se sentent en état d’insécurité, isolés et privés de la naïve, simple et pure joie de vivre. L’homme ne peut trouver de sens à la vie, qui est brève et périlleuse, qu’en se dévouant à la société.
L’anarchie économique de la société capitaliste, telle qu’elle existe aujourd’hui, est, à mon avis, la source réelle du mal. Nous voyons devant nous une immense société de producteurs dont les membres cherchent sans cesse à se priver mutuellement du fruit de leur travail collectif — non pas par la force, mais, en somme, conformément aux règles légalement établies. Sous ce rapport, il est important de se rendre compte que les moyens de la production — c’est-à-dire toute la capacité productive nécessaire pour produire les biens de consommation ainsi que, par surcroît, les biens en capital — pourraient légalement être, et sont même pour la plus grande part, la propriété privée de certains individus.
Pour des raisons de simplicité je veux, dans la discussion qui va suivre, appeler " ouvriers " tous ceux qui n’ont point part à la possession des moyens de production, bien que cela ne corresponde pas tout à fait à l’emploi ordinaire du terme. Le possesseur des moyens de production est en état d’acheter la capacité de travail de l’ouvrier. En se servant des moyens de production, l’ouvrier produit de nouveaux biens qui deviennent la propriété du capitaliste. Le point essentiel dans ce processus est le rapport entre ce que l’ouvrier produit et ce qu’il reçoit comme salaire, les deux choses étant évaluées en termes de valeur réelle. Dans la mesure où le contrat de travail est " libre ", ce que l’ouvrier reçoit est déterminé, non pas par la valeur réelle des biens qu’il produit, mais par le minimum de ses besoins et par le rapport entre le nombre d’ouvriers dont le capitaliste a besoin et le nombre d’ouvriers qui sont à la recherche d’un emploi. Il faut comprendre que même en théorie le salaire de l’ouvrier n’est pas déterminé par la valeur de son produit.
Le capital privé tend à se concentrer en peu de mains, en partie à cause de la compétition entre les capitalistes, en partie parce que le développement technologique et la division croissante du travail encouragent la formation de plus grandes unités de production aux dépens des plus petites. Le résultat de ces développements est une oligarchie de capitalistes dont la formidable puissance ne peut effectivement être refrénée, pas même par une société qui a une organisation politique démocratique. Ceci est vrai, puisque les membres du corps législatif sont choisis par des partis politiques largement financés ou autrement influencés par les capitalistes privés qui, pour tous les buts pratiques, séparent le corps électoral de la législature. La conséquence en est que, dans le fait, les représentants du peuple ne protègent pas suffisamment les intérêts des moins Privilégiés. De plus, dans les conditions actuelles, les capitalistes contrôlent inévitablement, d’une manière directe ou indirecte, les principales sources d’information (presse, radio, éducation). Il est ainsi extrêmement difficile pour le citoyen, et dans la plupart des cas tout à fait impossible, d’arriver à des conclusions objectives et de faire un usage intelligent de ses droits politiques.
La situation dominante dans une économie basée sur la propriété privée du capital est ainsi caractérisée par deux principes importants: premièrement, les moyens de production (le capital) sont en possession privée et les possesseurs en disposent comme ils le jugent convenable ; secondement, le contrat de travail est libre. Bien entendu, une société capitaliste pure dans ce sens n’existe pas. Il convient de noter en particulier que les ouvriers, après de longues et âpres luttes politiques, ont réussi à obtenir pour certaines catégories d’entre eux une meilleure forme de " contrat de travail libre ". Mais, prise dans son ensemble, l’économie d’aujourd’hui ne diffère pas beaucoup du capitalisme " pur ".
La production est faite en vue du profit et non pour l’utilité. Il n’y a pas moyen de prévoir que tous ceux qui sont capables et désireux de travailler pourront toujours trouver un emploi ; une " armée " de chômeurs existe déjà. L’ouvrier est constamment dans la crainte de perdre son emploi. Et puisque les chômeurs et les ouvriers mal payés sont de faibles consommateurs, la production des biens de consommation est restreinte et a pour conséquence de grands inconvénients. Le progrès technologique a souvent pour résultat un accroissement du nombre des chômeurs plutôt qu’un allégement du travail pénible pour tous. L’aiguillon du profit en conjonction avec la compétition entre les capitalistes est responsable de l’instabilité dans l’accumulation et l’utilisation du capital, qui amène des dépressions économiques de plus en plus graves. La compétition illimitée conduit à un gaspillage considérable de travail et à la mutilation de la conscience sociale des individus dont j’ai fait mention plus haut.
Je considère cette mutilation des individus comme le pire mal du capitalisme. Tout notre système d’éducation souffre de ce mal. Une attitude de compétition exagérée est inculquée à l’étudiant, qui est dressé à idolâtrer le succès de l’acquisition comme une préparation à sa carrière future.
Je suis convaincu qu’il n’y a qu’un seul moyen d’éliminer ces maux graves, à savoir, l’établissement d’une économie socialiste, accompagnée d’un système d’éducation orienté vers des buts sociaux. Dans une telle économie, les moyens de production appartiendraient à la société elle-même et seraient utilisés d’un façon planifiée. Une économie planifiée, qui adapte la production aux besoins de la société, distribuerait le travail à faire entre tous ceux qui sont capables de travailler et garantirait les moyens d’existence à chaque homme, à chaque femme, à chaque enfant. L’éducation de l’individu devrait favoriser le développement de ses facultés innées et lui inculquer le sens de la responsabilité envers ses semblables, au lieu de la glorification du pouvoir et du succès, comme cela se fait dans la société actuelle.
Il est cependant nécessaire de rappeler qu’une économie planifiée n’est pas encore le socialisme. Une telle économie pourrait être accompagnée d’un complet asservissement de l’individu. La réalisation du socialisme exige la solution de quelques problèmes socio-politiques extrêmement difficiles : comment serait-il possible, en face d’une centralisation extrême du pouvoir politique et économique, d’empêcher la bureaucratie de devenir toute-puissante et présomptueuse ? Comment pourrait-on protéger les droits de l’individu et assurer un contrepoids démocratique au pouvoir de la bureaucratie ?
09 janvier 2007
Le SJÖ occupe le siège du PS autrichien!
06 janvier 2007
Dépot de candidature Ecosy
To the Control Commission of ECOSY
Rue du Trône 98
1050 Bruxelles
Objet: Candidacy to the position of Vice-President of Ecosy
Dear Comrades,
As the letter here attached shows, MJS Belgium designated me as a candidate to the position of Vice-President of ECOSY.
Ever since I joined MJS, at the end of my studies – and even before, as a student activist – I have always been convinced of the necessity to profoundly change the structures of society to make it a properly inclusive and democratic one. And socialism appeared as the most pertinent way to lead to the social changes that were needed. At the same time, it struck me that such a will of change could not be limited to the mere national level. In our modern society, more than ever, workers do not have a fatherland! I am convinced of the importance of internationalism in this context.
This is the reason why I first joined in ECOSY activities, first as a grassroot activists at summer universities, seminars and so on, following the opportunities that the strong commitment of MJS to our common organisation provided, and then as a Bureau Member during the last mandate.
In the course of these last two years, ECOSY engaged in an important reformation process, as is shown by the modification of our statutes and especially by the revision of our position paper, and ran a efficient campaign in favour of a Social Europe, thanks to the work of the former presidium and especially of the Secretary General.
Up till now, the Young European Socialist has been successful in creating a common identity to our activists across Europe. This activist force must now be used to put Ecosy as the spearpoint of the social struggle, at the advant-garde of the PES. On such major issues for the future of a Social Europe as the defense of Public services, the minimum wage, the working time reduction, the tackling of an ageing society through the management of immigration and the integration thereof or the Policies of the Union towards the neighbouring countries, it is now time to forge our organisation as an efficient tool of political lobby towards the Union authorities.
This is the mandate for which the MJS, and myself, are putting forward my candidacy for the position of vice-President of ECOSY.
Brian BOOTH
04 janvier 2007
Pétition contre les armes à sous-munition.

La journée de la femme en avance?

Dans notre grande série "Est-ce que nos médias ne seraient pas un poil bourgeois et réacs par hasard?", Le Soir donnait l'impression de célébrer à sa manière la journée de la femme avec 3 mois d'avance.
03 janvier 2007
nettoyage hivernal
Mais qu'esse tu fais doudou, dis donc?
07 décembre 2006
Congres du PSE a Porto.
05 décembre 2006
Ah! Ouh! Pinochet au trou!

On nous annonce pour la troisième fois en quelques années que Pinochet est à l'article de la mort. Je ne vais certainement pas verser une larme sur l'état de santé de ce salaud intégral mais, pour autant, je n'arrive pas à m'en réjouir non plus.
04 décembre 2006
Ouh! Ah! Chavez no se va!

Hugo Chavez est un type ambigu, personne ne songe à le contester. Et il lui est arrivé de tenir des propos parfaitement inacceptables. Mais depuis son arrivée au pouvoir, une politique économique résolument socialiste a permis de financer des politiques sociales fortes, visant à réduire le gouffre qui sépare les conditions de vie du peuple du Vénézuela de celles des classes moyennes et des élites.
Pour des milliers de personnes, il incarne aujourd'hui non seulement la résistance mais une réelle alternative au néo-libéralisme ambiant. Alors que la droite et le(s) patronat(s) incarnent la peur et la régression sociale, Chavez et une certaine gauche sud-américaine représentent l'espoir et la volonté de changement.
C'est pourquoi je me réjouis de sa réélection triomphale (68%).
Faudra-t-il attendre une polarisation de la société européenne aussi forte que celle de la société latino-américaine, faudra-t-il attendre la perte de tous les acquis sociaux gagnés par la gauche au cours de plus d'un siècle et demi de lutte et qui ont justement permis l'élévation sociale des travailleurs pour que nous nous décidions enfin à remettre sur les rails un projet politique radical de transformation des rapports de production?
03 décembre 2006
Français, inscrivez vous sur les listes avant le 31 décembre
Un coup de mou?
The revolution is just a t-shirt away...
there is Power in a Union
Who's Calling? (spécial Xavier CLaus et Eric Sundstrom)
Enjoy!
Le capitalisme se fout de votre gueule
13 novembre 2006
C'est le facteur!
Ouf! Une fois encore, les socialistes belges se réveillent juste avant la fin de la mi-temps pour contrer la libéralisation d'un service public par voie de directive européenne.
On se souvient que, après que M. "Positif et concret" Busquin ait laissé passé le projet Bolkestein à la Commission, nous nous étions retrouvés en première ligne pour sauver les meubles lors de la première lecture au Parlement Européen. Petite parenthèse, le projet revient en deuxième lecture et, pas de bol, le "compromis allemand" restera d'actualité. Le Parlement sera content, le MJS pas.
Ce coup-ci, c'est contre le coup de grâce aux postes publiques (dont un camarade connu et amateur de noeud papillon avait organisé la mise en concurrence pour une série de marché annexes) que réagit le député européen et ex-ministre bruxellois Alain Hutchinson. Allez donc vous informer dans le détail sur le projet de directive et manifester votre opposition au projet sur ce site.
Empressez-vous ensuite de le faire suivre autour de vous, il existe dans toutes les langues de l'Union.
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Dear comrades, for the second time on this blog, a couple of words in English.
Public mail services are at risk of being completely privatised!
Learn more by reading the directive project here, and then petition the European Parliament here!
09 novembre 2006
Arts du spectacle...
Dans un effort surhumain pour essayer de mettre tout le monde d'accord, et au risque de me faire occire par certains malfaisants, une petite vidéo qui fait la synthèse... quoique, est-ce qu'on peut parler de musique? non, non... mais de littérature?... Bon, d'accord, tout au plus, c'est un grand cirque!
Sego clip
envoyé par sebeto
Et le vieux François? ;-)
07 novembre 2006
De retour de Finlande
02 novembre 2006
Bureau Meeting in Helsinki
Donc, un rapide post pour signaler que ce week end se tient la réunion du bureau d'Ecosy à Helsinki (en Finlande, mais ne prenez pas ce rappel pour une inure à vos connaissances géographiques).
Au menu de cette réunion, entre autres, la préparation de la réforme statutaire de l'organisation lors du prochain Congrès, la désignation de l'endroit où ce Congrès aura lieu - vraisemblablement la Pologne -, et aussi pour ne pas dire surtout, de mon point de vue, la question de la slovaquie.
Nous aurons également droit à la visite de Philippe Cordery, le Secrétaire Général du PSE, qui nous parlera d'une part des activistes de ce parti (je vous mettrai le lien utile plus tard) et également de la façon dont les Socialistes européens ont réagi vis-à-vis de la participation du SMER, les soc-dem slovaques, dans une coalition incluant des partis d'extreme-droite.
Si je ne perds pas mes doigts d'ici là - on se les gèle grave sur les bords de la baltique - je vous tiendrai au courant des résultats...
17 octobre 2006
Le 9è rêve
13 octobre 2006
Concerts de soutien à "A voix Autre"

Demain soir (samedi 14 octobre 2006), à la Péniche, sur le quai du même nom: concerts de soutien à "A voix autre", le périodique du groupe anarchiste bruxellois "Ici et Maintenant" et dont je vous ai déjà parlé ici.
Au programme: Ska, Ska et encore un peu de bon ska pour ceux qui aiment. Tout le programme est ici.
J'y passerai: venez nombreux pour faire vivre cette belle expérience militante!
Les résultats II: le global.

Avec un peu de retard dû à des réunions diverses et variées - toutes mes excuses - mon point de vue sur les résultats globaux des élections de dimanche passé.
Tout d'abord un petit rappel: couplées en Flandre et en Wallonie, les communales étaient couplées avec les provinciales. Pas en Région de Bruxelles-Capitale puisque, s'il y existe encore un, et même en l'ocurrence une Gouverneur(e), l'institution provinciale y a été supprimée lors de la scission du Brabant.
10 octobre 2006
Les résultats I: le local.

Au risque de paraître faire dans l'esprit de clocher - ce serait bien le comble, moi qui bouffe un curé à chaque repas - c'est par la situation ixelloise que je commencerai mon petit compte rendu.
Tout d'abord la situation à la sortie des urnes. La liste du Bourgmestre passe de 7 à 9 sièges et son chef de file, le mayeur sortant Willy Decourty remporte son défi personnel en réalisant le meilleur score en voix de préférence sur la commune (2274 suffrages). Les démocrates chrétiens du cdH réalisent la meilleure progression, doublant tout simplement leur score pour ariver à 4 sièges (+2). Le MR se maintient à 18 sièges (-1), ce qui reflète tout simplement le tranfert de Françoise Jottard vers la Liste du Bourgmestre. Un transfert qui était virtuellement opéré dès l'installation du Conseil Communal précédent. Enfin, Ecolo enregistre le recul le plus significatif, concèdant 3 sièges mais limitant finalement les dégats par rapport aux régionales de 2004.
Merci à tous!
Merci à tous, donc, pour votre temps, votre engagement, votre patience parfois, votre confiance et, finalement, votre vote! Je ne suis pas élu et la déception est grande de voir que le PS Ixellois a pris la décision de ne pas reconduire une majorité Olivier (pour info, les jeunes socialistes se sont opposés à l'accord de majorité MR-PS en comité de la section), c'est vrai. Mais on ne peut que se réjouir du score de la liste PS. Et, pour tous les militants qui défendent un projet radical à gauche, le combat continue!
Je posterai un peu plus tard mon analyse de la situation àç Ixelles et des résultats globaux de ces élections communales. Restez à l'écoute ;)
01 octobre 2006
Farewell M. Schussel!!!
Lettre aux Ixellois
Chers amis,
« Encore un courrier électoral ! Sac jaune ! »
Encore un courrier électoral, oui. Pourtant j’espère qu’il sera lu avant de rejoindre les autres au fond de la corbeille. Pourquoi ?
Sans doute parce que les élections communales du 8 octobre sont ma première expérience de campagne. Tout comme elles seront peut-être pour vous la première expérience de vote (ou de vote en Belgique). Et il paraît que les premières fois sont toujours quelque chose d’un peu particulier…
Donc, je me présente : Brian BOOTH, 28 ans, licencié en histoire (ULB) et ixellois d’adoption depuis bientôt 10 ans. Au cours de ma formation, de nombreux débats, de nombreuses rencontres m’ont permis tout à la fois de me forger un solide sens critique et une conscience politique bien ancrée à gauche, mise au service d’une volonté de faire bouger les choses. Après m’être engagé dans l’associatif ULBiste, j’ai donc décidé de poursuivre mes combats pour plus de justice sociale et plus de solidarité au sein du Mouvement des Jeunes Socialistes, dont je suis aujourd’hui en charge des Relations Internationales. C’est encore dans la même logique que j’ai choisi de travailler dans le service public : je travaille pour la Société du Logement de la Région de Bruxelles-Capitale, où je participe à la réalisation d’un plan de construction de 5000 nouveaux logements publics.
Les élections communales sont la suite logique de mon engagement : changer le cadre de vie, ça se fait ensemble ! C’est pourquoi je porte un projet socialiste à la 26ème place sur la Liste du Bourgmestre. Favorable à la reconduction d’une majorité « Olivier » PS-CDH-ECOLO, je propose de défendre notamment les propositions concrètes suivantes :
- Augmenter l’offre de logements sociaux ou à prix encadrés sur le territoire de la commune pour agir sur le niveau global des loyers.
- Défendre l’application des mesures permettant de remettre sur le marché les logements vides ou abandonnés, ainsi que la reconversion de bureaux en logements là où un déséquilibre existe entre ces deux fonctions.
- Créer un observatoire communal du logement pour améliorer la connaissance du parc communal et l’efficacité d’une future régie foncière.
- Associer plus étroitement au développement communal des acteurs importants comme les nombreux établissements d’enseignement supérieur ixellois ou les institutions européennes.
- Casser la ségrégation sociale qui existe entre les différentes écoles du réseau communal en mettant en place des projets pédagogiques communs à réaliser ensemble par les élèves des différents établissements.
- Augmenter l’offre de place en crèche pour les Ixellois et encourager les employeurs à se regrouper pour offrir des facilités d’accueil aux jeunes parents sur les lieux de travail.
- Mettre en place un Conseil Participatif des Jeunes Ixellois.
Par ailleurs, je me bats également pour les revendications portées par l’ensemble des jeunes socialistes bruxellois et que vous trouverez sur le site de la Fédération Bruxelloise des Jeunes Socialistes.
Enfin, je pense que l’action politique ne peut se concevoir que collectivement. Vous pouvez voter pour plusieurs personnes sur une même liste, c’est pourquoi je vous invite à faire également confiance aux autres candidats de la liste du Bourgmestre qui partagent mes combats : Fabrizio Bucella (24ème), Sebastien Schetgen (20ème), Nevruz Unal (39ème) et Ans Persoons (13ème).
Si vous souhaitez discuter de ces projets, si vous voulez faire de votre commune le lieu du vivre ensemble et des solidarités, n’hésitez pas à me contacter (booth_brian@yahoo.fr ou par téléphone au 0498/452.690) ou à réagir sur mon blog : http://nicarquanniseuf.blogspot.com.
Bon vote !
Brian Booth
26ème sur la Liste du Bourgmestre.
19 septembre 2006
Restons dans le vague

Il y a des semaines comme ça, on est presque content d'avoir perdu ses lunettes. Une actualité maussade est moins désagréable quand le monde entier paraît flou, flou, flou. Evidemment, quand la vue revient, le moment de faire le point n'est pas plus agréable.
Pourtant la semaine n'avait pas mal commencé: très bon bilan de l'activité de campagne (allez voir les photos sur le blog de Sigrid) et surtout Everton qui écrase Liverpool 3-0 dans un derby sur les rives du Mersey - que demander de plus?
Et puis, patatra! On apprend l'arrestation d'une douzaine de fascistes, dont un grand nombre de militaires, qui se voyaient mener une bonne vieille campagne de déstabilisation du pays à coup d'actions musclées. Vu leur arsenal (armes de guerres,...), on peut se dire que leurs actions n'auraient rien eu de folklorique.
J'étais un peu jeune dans les années quatre-vingts pour me souvenir exactement de ce que pouvaient être les années de plomb, par contre je me souviens relativement bien de l'ambiance. Et franchement, le fait de savoir qu'il existe encore des groupements d'extrême droite (sur le modèle Gladio et compagnie) susceptible de jouer les Bob Denaer dans notre petit royaume pépère n'a rien de rassurant. Dans ce genre de cas, on a beau se dire "plutôt Vienne que Berlin", on se sent un peu seul...
A noter en passant, les médias francophones se sont tous focalisés sur le fait que les "12 salopards" (je fais dans la référence cinématographique de haut vol) sont flamands. Je m'en voudrais de peiner les amis de Ségolène, mais je trouve qu'on aurait pu plutôt se poser des questions sur le fait que 10 sur 12 sont des militaires. Et que ce n'est pas la première fois qu'on démasque dans ce pays des maniaques galonnés qui se prennent, qui pour le général Alcazar, qui pour le général Tapioca. Je ne nie pas qu'il existe des militaires de gauche - la guerre civile espagnole, pour ne citer qu'un exemple romantique, l'a assez montré - mais on permettra tout de même de se demander dans quelle proportion...
Enfin rassurez-vous, citoyens, en fait l'armée, ce n'est pas du tout une institution pour cas un peu limites de types traumatisés par Chuck Norris dans leur prime jeunesse. En fait, c'est plutôt une sorte de grand rassemblement de nostalgiques du scoutisme. La preuve, la Belgique va servir de terrain de jeux à un espèce de Jamboree International: les grandes manoeuvres. 5000 traîneurs de sabre belges, français, allemands, autrichiens et autres vont transformer le pays en plateau de kriegspiel, depuis le débarquement à Knokke le Zoute jusqu'à la bataille de boule de neige sur le signal de Botrange, avec saut en parachute et couverture aérienne. Du grand spectacle. La construction européenne est en marche. Avis aux familles: on considère qu'un pourcent de perte est quelque chose d'acceptable dans ce genre d'évènements. Saluez le pourcent de ma part.
Dans un autre registre, on apprend un poil plus tard que notre ministre des finances, le très sérieux président du MR (vous vous souvenez, la droite néo-libérale?), s'est aperçu qu'il y avait eu comme une petite erreur de manipulation dans l'encodage des rentrées fiscales. Enfin, quand je dis qu'il s'en est aperçu, ce sont surtout quelques petits contribuables surpris de se voir réclamer plusieurs millions d'euros de contributions qui le lui ont mis sous le nez. Conclusion, il manque quelques 900 millions pour le maintien à l'équilibre du budget 2007. A neuf mois des législatives, ça n'est pas très présentable. Les uns râlent déjà sur l'administration - mais l'administration a bon dos. Pour ma part, je me demande quelles sont les mesures qui passeront à la trappe faute de financement pour garantir la sacro-sainte orthodoxie budgétaire. On peut déjà prendre les paris: je ne pense pas que les allègements fiscaux pour les classes aisées risquent trop gros.
Mais peut-être suis-je trop méfiant, finalement: il doit bien rester quelques bâtiments dans le coffret à bijoux de famille gouvernemental. On pourra toujours les vendre au tiers de leur valeur et les re-louer sitôt rénovés pour un montant de nature à garantir à l'heureux acheteur l'amortissement de son investissement en quatre ans.
Ca mériterait bien une petite réflexion sur l'impact des politiques menées -sans contrôle politique justement - par la Banque Centrale Européenne comme garante du pacte de stabilité sur les politiques budgétaires nationales. Ou au minimum sur la nécessité d'instaurer un contrôle de la direction de cet organe par les citoyens. Mais ne nous aventurons pas: on risquerait fort de se rendre compte que, contrairement à ce que disent certains, "le politique peut tout"...
Aujoud'hui, on apprend que les sociaux-démocrates scandinaves doivent concéder la victoire électorale aux conservateurs. Au moment où le Parlement Européen est sur le point de voter une résolution consacrée au modèle social européen, ça n'augure de rien de bon!
Et pour boucler la boucle, Everton a laissé filer deux points samedi en concédant le nul (2-2) à Wigan... Quand je vous dis qu'il y a des semaines sans...
08 septembre 2006
07 septembre 2006
You never walk alone...

05 septembre 2006
Open your mind!

Etre socialiste, c'est évidemment être internationaliste. Je vous renvoie souvent à différents posts de nos camarades européens. Alors que l'ambiance est un peu tendue sur le front communautaire, j'ai plaisir à rappeler que les jeunes socialistes en Wallonie et à Bruxelles se sentirons toujours plus proche d'un autre jeune socialiste, quelle que soit sa langue, que d'un droitiste "bien de chez nous".
Tsunami sur le Tagawa?

Depuis un peu plus de dix ans, l'hotel Tagawa, sur l'avenue Louise, est devenu un véritable symbole. Laissé à l'abandon par son propriétaire, l'ancien hotel a d'abord été squatté avant que les occupants ne s'associent au sein de l'ASBL "321 logements". Depuis trois ans et demi, l'ASBL vivait en bonne intelligence avec le propriétaire, chacun y trouvant son compte: le bâtiment était entretenu et son occupation le garantissait contre les dégradations, tandis que 55 personnes trouvaient à se loger dans un Bruxelles en crise du logement. Ajoutons que le propriétaire se soustrayait de la sorte aux taxes sur les immeubles inoccupés. Taxes que les autorités ont généralement les pires difficultés à percevoir, soit dit en passant.
04 septembre 2006
Sondage.

En période de campagne, des tas d'évenements improbables peuvent se produire sans crier gare. Par exemple, aujourd'hui - croyez-le si vous voulez - j'ai lu un article dans la Dernière Heure. Et pour pousser le vice jusqu'à son comble, je vais même vous donner un lien vers cet article. Non pas que ce journal ait fait des progrès fracassants mais il publie aujourd'hui un sondage IPSOS sur la situation politique à Ixelles. Sondage dont vous trouverez les résultats complets ici.