01 septembre 2012
C'est reparti!
26 novembre 2010
What's in a word?

23 octobre 2010
Who's afraid of Big Bad De Wolf?

Ok, je vous fais le coup à chaque fois, donc on va pas faire semblant que je ressuscite ce blog ou que je présente la moindre excuse à laquelle personne ne croit... Mais bon, tomber sur une nouvelle bêtise aussi énorme de nos amis les bleus, en cette période de guindaille, ce serait tout de même dommage de passer à coté.
Donc, la dernière trouvaille de Vincent "les logements sociaux sont des foyers insurrectionnels" De Wolf vaut encore une fois son pesant d'actions Fortis. Voila que ce brave garçon souhaite qu'à l'avenir, les ressortissants européens puissent prendre part à l'élection du Parlement bruxellois.
"Mais que voila une excellente idée, pourquoi râle-t-il encore, ce réactionnaire déguisé en rouge?" te demande-tu ami lecteur et néanmoins homme (ou femme d'ailleurs) de peu de foi.
Alors, de une: tu sais ce qu'il te dit le réactionnaire? De deux, rapide rappel historique: jusqu'en 2004, ce sont les joyeux drilles du MR, De Wolf en tête, qui se sont battus pour empêcher que le droit de vote des étrangers soit ouvert au-delà du niveau municipal. On le rappelle notamment ici.
Encore pourrait-on croire à une rédemption tardive, sauf que... et de trois! Sauf que, donc, il est bien sur hors de question d'ouvrir ce droit à tous les étrangers résidant en Région de Bruxelles-Capitale. Non, non: le droit de vote c'est quelque chose de sérieux, ça ne se donne pas à n'importe qui. On va tout de même pas donner une telle puissance aux bicots, non?
Et d'ailleurs, c'est prouvé: il y a de plus en plus d'Européens à Bruxelles (+26% entre 2000 et 2008) alors qu'il y a de moins en moins d'étrangers (-14%) puisque ceux-ci prennent la nationalité belge. Donc, il ne faut donner le droit de vote qu'aux Européens... C'est d'une logique implacable, puisque la ligne du MR a toujours été de dire aux allochtones "si vous voulez voter, devenez belges".
Au Royaume Uni, un slogan en faveur du suffrage universel est "no taxation without representation". Une large part des européens visés par la proposition travaille dans des institutions internationales et sont exemptées d'impôts. Pour le MR, le slogan est inversé.
Naturellement, le fonctionnaire européen, c'est bien connu, vote à droite... pas comme les autres métèques. Merci Vincent!
Allez, à dans 6 mois pour de nouvelles barres de rire.
06 mai 2010
Monétiser la dette pour éteindre l'incendie
Les plans d'austérité drastiques votés en Grèce et au Portugal n'ont pas suffi à rassurer des marchés financiers qui s'inquiètent aujourd'hui des troubles sociaux qu'ils ont eux-mêmes provoqués. Alors que l'incendie grec se propage au Portugal et à l'Espagne et que rien ne semble devoir apaiser la folie des spéculateurs, la passivité doctrinaire de la BCE est un danger pour la zone euro toute entière. Les marchés eux-mêmes ont réagi négativement aux déclarations de Jean-Claude Trichet, laissant la monnaie européenne s'enfoncer un peu plus encore face au dollar.
Les traités laissent pourtant la possibilité à la BCE de racheter les instruments des dettes publiques dans des "circonstances exceptionnelles". Si les circonstances que nous traversons ne sont pas "exceptionnelles", comment les qualifier autrement?
Pour permettre aux Etats Membres de financer leurs indispensables politiques de relance, de faire fonctionner les amortisseurs sociaux et de créer les conditions du retour de la croissance, il faut que les institutions publiques se substituent à un secteur privé manifestement défaillant. La BCE doit financer la dette des Etats de la zone euro avant que celle-ci ne soit purement et simplement engloutie par la crise.
08 avril 2010
C'est le doudou, c'est le mama...

La Ville de Mons, grande et belle agglomération hennuyère, prévoit donc d'investir une somme parfaitement dérisoire dans la construction d'une gare. 115 millions d'euros, sans blague, une pécadille pour une telle métropole. Et bien figurez vous qu'il y a des esprits chagrins pour contester la dépense.
Une chaine de radio et de télévision luxembourgeoise a donc décidé de suivre l'un de ces 1.500 signataires d'une pétition "contre", un de ces gars qui font vivre la démocratie locale par un engagement discret et gratuit, comme ça, hop, parce que ce sont de vrais chevalier blancs - et qu'ils connaissent bien leurs dossiers quand même.
En l'occurrence, don quichotte s'appelle John Joos. Et ben moi, je dis chapeau. Au pékin en question, d'abord. Sans doute tiré au sort parmi la longue liste de signataires, rien à redire, il connait le truc sur le bout des doigts, il a des propositions alternatives, il sait parler aux gens, tout ça, tout ça. Et puis pour le journaleux. Faire 4 minutes sans mentionner que le John Joos était sur la liste CDH lors des élections communales de 2006, après avoir été courtisé par les Ecolos et de finalement se retirer (tout en restant, manifestement féru d'opposition locale), fallait le faire. RTL l'a fait.
Bon, soyons sérieux, je suis tout à fait d'accord,115 millions dans la construction d'une nouvelle gare à Mons, c'est probablement aller un peu au-delà de la décence keynésienne. Mais ça déforce le sujet de respecter un minimum de déontologie?
31 mars 2010
Decret Inscriptions: calculatrice et carte scolaire.

Et bien, au risque de te décevoir, amateur de charges lyriques, c'est pas pour ce coup-ci. Mais si tu veux vraiment savoir tout le bien que je pense de ce cirque, je te recommande la lecture de cet article ou alors de celui-là si tu préfères un point de vue journalistique (et donc neutre, c'est bien connu). Voila, sachant que le sujet est bien traité tout comme il faut ailleurs, je peux passer à un autre sujet qui me tient à coeur.
Ca fait perpète maintenant que perdure la saga du décret inscriptions. Pour nos nombreux lecteurs étrangers arrivés ici en cherchant la musique du troisième homme (oui, mon outil statistique fonctionne à nouveau et offre des données un rien surprenantes), résumé des épisodes précédents. Donc, il y a bientôt 2 ans de ça, certains de mes camarades se sont réveillés et se sont rendus compte d'un truc de ouf. Le système scolaire en Belgique francophone est parmi les plus inéquitables du continent. Et pris d'une fièvre gauchiste, ils se sont dits que ça ne pouvait par rester continuer durer. D'où le premier décret Arena. Un texte courageux, qui disait, en un mot: les inscriptions 10 ans à l'avance dans les écoles de bourges, c'est ter-mi-né. Les inscriptions préférentielles à la tête (ou au portefeuille, ou au réseau: quand on a une sale tronche, il vaut mieux être bien introduit) du parent, hop: fini. Impossible de toucher à la sacro-sainte et constitutionnelle liberté de choix du père de famille, certes. Mais par contre, aucun problème pour ouvrir et clore les inscriptions à dates fixes, pareilles pour tout le monde et basta. Premier arrivé, premier inscrit et voila.
Bel effort, mais ça ne passe pas tout seul. Hurlements des organisations de parents (connues pour regrouper principalement les parents des élèves en décrochage scolaire dans les athénées dits "difficiles"), gestion un peu pitoyable de la première application, caméras complaisantes devant les files d'attentes qui se forment devant les 15 écoles les plus prisées du royaume... Le conflit est lancé. Et il faut bien reconnaitre que, pour courageux qu'il soit, le texte ne résout pas tous les problèmes. Non, c'est vrai: à part une certaine classe sociale, qui peut se payer un gars pour aller faire la file à sa place pendant trois jours? Et puis, faute d'information correcte et de vraie campagne, pas de mouvement significatif vers plus de mixité sociale (dans certaines écoles, la situation s'est même dégradée). Et au jour de la rentrée, certains gamins n'étaient toujours inscrits nulle part et d'autre dans 3 établissements différents.
Splendide ellipse narrative, je vous passe les différents rebondissements... et on en arrive à la situation actuelle. C'est toujours pas tout à fait au point mais on progresse: désormais, on a trouvé une façon objective de caser les candidats dans les écoles courues. Sortez les règles à calculer: suivant la distance domicile/école primaire, le mioche est gratifié d'un coefficient allant de 1 à 2. Suivant la distance domicile/ nouvelle école secondaire: de 1 à 1,98. S'il était dans une école pratiquant l'immersion linguistique et veut s'inscrire dans une école secondaire proposant le même enseignement: hop, bonus. Et suivant que le domicile se trouve dans un rayon inférieur ou supérieur à 4 km de son domicile, encore un coefficient correcteur. Et tout ça bien entendu dans le respect des réseaux, "libre" (lisez catho dans l'écrasante majorité des cas) ou "officiel".
Quel est l'âge du capitaine?
Descendez-moi cette aspirine cul sec et posons nous 2 secondes.
En terme de promotion de la mixité sociale, on peut encore discuter. Les inégalités sont inscrites dans le territoire et se limiter à des critères portant sur un kilométrage, ça répond finalement assez peu à l'objectif de départ. Mais c'est incontestablement un progrès par rapport à la dernière solution en date: le tirage au sort. Un progrès puisqu'il marque une volonté politique. Et qu'en Belgique plus qu'ailleurs, l'enseignement, c'est un sujet purement politique. Et en cadeau bonus, on aura enfin des éléments incontestables sur le maillage Catho/officiel dans ce pays.
Mais soyons sérieux, si on veut vraiment répondre au caractère inégalitaire de notre enseignement, on ne pourra pas continuer de tourner autour du pot pendant 110 ans. La solution passe obligatoirement par la fusion des réseaux. En pur produit des écoles de bonnes soeurs, je peux vous le dire: ça ne sert à rien. Par contre, ça coute un pognon bête - à tous les parents, puisqu'elles sont financées par tous les contribuables. Il est grand temps d'enterrer ce reliquat d'ancien régime. Et de pousser la logique timidement abordée dans le dernier texte jusqu'au bout. En mettant une fois pour toute en place une carte scolaire, corrigée par ce que nous savons de la distribution sociologique sur le territoire.
D'autres volontaires pour rallumer la guerre scolaire? Les inscriptions sont ouvertes!
10 mars 2010
Le Parlement Européen pour la dénucléarisation de l'Europe!

The European Parliament today branded tactical nuclear weapons on its soil as "an anachronism" and called for them to be withdrawn.
In a Strasbourg vote, the Parliament became the first EU institution to back US President Obama's commitment to a world without nuclear weapons. Ahead of a review of the non-proliferation treaty, Euro MPs urged the EU to address ‘the strategic anachronism of tactical nuclear weapons’ in Europe.
Welcoming the move, S&D leader Martin Schulz said: "President Obama has created the opportunity to move closer to a nuclear-free world. We expect EU ministers to support this commitment and to propose an ambitious timetable for achieving it."
The Parliament's resolution says that revision of NATO's strategic concept offers an opportunity to reassess the alliance's nuclear policy. Up to 200 nuclear weapons are estimated to be deployed in Germany, Italy, the Netherlands and Belgium. The fifth NATO state with US nuclear weapons on its territory, Turkey, is a candidate for EU membership.
The resolution says that withdrawing these weapons could help future nuclear disarmament. It notes Germany’s new policy of working towards their withdrawal from its territory.
Said S&D vice-president Adrian Severin: "All EU member states have an obligation to contribute successfully to nuclear non-proliferation and disarmament policies. We are pleased that the European Parliament is now calling for the removal of all tactical nuclear warheads from Europe. This will also be good news for European citizens because it will improve their security."
The S&D Group officially endorsed withdrawal of nuclear weapons four years ago. S&D delegation leaders from the countries directly concerned – Bernhard Rapkay (Germany), David Sassoli (Italy), Kathleen Van Brempt (Belgium), and Thijs Berman (the Netherlands) –give the move their full support.
30 octobre 2009
Une victoire (provisoire) des défenseurs de la paix!
Communiqué de presse – 30 octobre 2009
CNAPD - LDH
Le Conseil d’Etat suspend des cinq licences d’exportation d’armes de la FN à la Libye
La Ligue des droits de l’Homme (LDH) et la Coordination nationale d’action pour la paix et la démocratie (CNAPD) se réjouissent de la décision du Conseil d’Etat de suspendre les livraisons d’armes de la FN vers la Libye.
Le 9 juin dernier, le Ministre-Président de la Région wallonne accordait une licence d’exportation à l’entreprise FN Herstal dans l’objectif de permettre une livraison d’armes légères à la Libye.
Contestant cette décision tant sur le plan éthique que dans sa conformité par rapport au Code de conduite de l’Union européenne en matière d’exportation d’armes, la LDH et la CNAPD ont introduit un recours en suspension et en annulation au Conseil d’Etat de la décision d’octroi de la licence.
Trois arguments ont particulièrement motivé cette décision : le fait que la Lybie ne respecte pas les droits de l’Homme, que ce pays encourage le terrorisme et la criminalité organisée et qu’elle pourrait détourner les armes qui lui sont livrées vers d’autres pays.
Le Conseil d’Etat a ordonné, dans son arrêt du 29 octobre, de suspendre immédiatement l’exécution des cinq licences d’exportation d’armes vers la Lybie.
La LDH et le CNAPD se réjouissent de la teneur de cet arrêt qui met en lumière un principe fondamental à leurs yeux: « Aucune certitude n’existe quant à l’emploi que son destinataire en fera effectivement ; la possibilité qu’elles [les armes] servent à commettre des violations des droits fondamentaux existe au moins à l’état de risque ; que ce risque suffit à justifier la suspension de l’exécution des actes attaqués. »
L’arrêt du Conseil d’Etat rappelle également, face à l’argument que les armes qui restaient à livrer seraient des armes d’apparat non destinées à tirer, que « pour le destinataire d’une balle, il importe peu qu’il ait été tirée avec une arme de luxe ou une arme standard (…) »…
Si cette suspension est indispensable pour la LDH et la CNAPD, elles ne peuvent par contre que regretter mes conséquences que cet arrêt pourrait avoir sur les travailleurs de la FN Herstal. Toutefois , elles soulignent que la sauvegarde de l'emploi ne peut se considérer en dehors du droit. Les procédures en matière de vente d'armes (la loi 5 août 1991 relative à l’exportation et à la lutte contre le trafic d’arme et le code de conduite européen en matière d’exportation d’armement) doivent être contrôlées par le Parlement et respectées avec le plus de transparence possible. La direction de la FN n'aurait pas mis les travailleurs dans une telle situation si elle n'avait pas signé de contrats sous astreinte. Enfin, elles sont convaincues que les travailleurs eux-mêmes ne peuvent cautionner de livrer des armes à un régime qui les retournerait contre les défenseurs des droits syndicaux.
Les deux associations attendent désormais la décision du Conseil d’Etat sur le fond du dossier.
16 octobre 2009
12 octobre 2009
Non mais qu'est ce que c'est...

20 mai 2009
Reynders ne connait rien à l'Europe
08 février 2009
Changement?

Bon, alors, fidèle à ma mauvaise habitude, j'ai de nouveau lamentablement abandonné ce blog. "Jusque là, pas de quoi justifier le titre de ce post" me rappelle déjà le lecteur mal intentionné mais néanmoins heureusement surpris d'un peu de neuf.
Qu'est-ce qui change, alors? Deux ou trois petites choses, tout de même. Tiens, pour commencer, j'ai eu le malheur de suivre les injonctions de blogger et de convertir le blog vers leur "nouvelle version". Je n'ai absolument rien trouvé de changé si ce n'est un truc: statcounter ne fonctionne plus, pas moyen de traquer tes moindres faits et gestes, lecteur chéri - en même temps, ça me rassure, à un rythme d'un post par mois il ne doit plus rester que quelques psychotiques fans de James Bond pour revenir une fois de temps en temps.
Plus fondamentalement, un changement important au cours de ces deux derniers mois. Depuis le 5 janvier, j'ai quitté l'équipe d'Ouri à la Ville de Bruxelles. Pas évident de quitter des gens qu'on a appris à aimer, un équipage plutôt improbable au départ, fait de personnalités très différentes et venant d'horizons qui ne l'étaient pas moins et qui finalement, tant dans le travail que dans les relations humaines, a réussi à créer une vraie alchimie. Pas simple de lâcher des dossiers avec lesquels on fini par faire corps et qu'on veut vraiment voir aboutir - heureusement je les laisse entre de bonnes mains et part la conscience tranquille de ce coté. Pas facile non plus de quitter un niveu de pouvoir en prise directe avec le quotidien des citoyens et qui permet de voir presque immédiatement la concrétisation des combats qu'on mène pour changer la vie des gens pour le meilleur (enfin, on espère).
Mais voila, le lecteur distrait l'aura sans doute remarqué, je suis aussi convaincu que l'Europe et l'international c'est important pour faire avancer la gauche en général et le socialisme en particulier. Alors quand une opportunité de travailler au Parlement Européen s'est présentée, forcément, j'ai sauté dessus. Donc, depuis janvier, je travaille avec un député socialiste français. Passer du logement à des matières principalement fiscales ne se fait pas comme changer de chapeau mais c'est un challenge passionant. Et mon député est bien à gauche ce qui ne me change pas d'Ouri, sans doute le plus important pour moi.
En relisant l'un ou l'autre article sur ce blog, faut reconnaitre que d'autres changements ont eu lieu. Un ami, un vieux frère du temps béni de la toge, de la penne, des chansonniers et des 900 coups perpétrés nuitamment sur le campus me le disait il y a déjà un bout de temps: Brian, tu avances à plein régime vers une forme de realpolitik.
Sur le coup, je crois bien que le commentaire m'a révolté. Aujourd'hui, j'essaye de relativiser un peu. Ma colère, ma capacité d'indignation sont, je pense, întactes. Du point de vue de l'analyse, je ne pense pas avoir renoncé à une grille marxiste. Et en terme d'orientation de la lutte, je continue de penser les principes fixés dans la charte de Quaregnon comme des objectifs à atteindre d'une manière ou d'une autre. Par contre, il faut bien admettre que deux ans passés dans un exécutif, fut-il municipal, m'ont un peu amené à évoluer dans la façon d'appréhender les combats. Un peu obligé à composer avec des rapports de forces qui s'accomodent mal d'une approche frontale. Certains diront que ça m'a emoussé, d'autres que ça m'a muri. Je n'ai pas vraiment d'opinion sur la question mais je dois reconnaitre que je réagis moins violemment. Que je me suis parfois dit, au lieu d'écrire un post, "t'as mieux à faire" ou pire "tu ne peux tout de même pas écrire un truc pareil".
En tout cas, le moment est bien choisi pour faire le point. On verra bien à la fin des quelques posts-"bilan" suivants quelle est la part de renoncement.
(en tout cas, il y a un truc qui est en train de s'installer et qui ne me plait pas, c'est le coté "Cher Journal" de posts récents. En un mot: fait chier!)
24 novembre 2008
Méfiez-vous des imitations
La pâle copie...
... et l'indépassable original. C'est quand même une autre classe, non?
20 novembre 2008
Solidarité avec le crops enseignant (outre quiévrain, cette fois)

L'auteur du dessin se trouve ici. Et pour les infos syndicales dans l'éducation nationale française, je vous renvoie plutôt au blog de mon camarade Nicolas Anoto (qui, c'est vrai, poste plus sur le congrès du PS que sur ses permanences syndicales pour le moment... ;) )
05 novembre 2008
Ma modestie dut-elle en souffrir...

31 octobre 2008
"Avant pour confronter les individus...
Une réflexion sur la valeur travail - ou plutôt sur le management du travail sans valeur. Hormis la valeur ajoutée bien sur. Et qui ne peut empêcher d'amener à se poser au moins deux questions plus difficiles qu'on ne croit. N'avez qu'à essayer d'y répondre dans les coms d'ailleurs, si elles vous paraissent si facile que ça:
1. Pour moi, c'est quoi le bonheur (et comment l'atteindre)?
2. Quelle valeur - non économique - a mon travail et pourquoi le fais-je ?
Et si vous voulez rire un peu - ou pas - vous pouvez aussi réfléchir à jusqu'où les techniques dénoncées dans le grand méchant monde de l'entreprise ne sont pas aussi de mise dans les différentes structures associatives/ non marchandes/ militantes. En un mot, jusqu'où ces modes relationnels ont percolés dans la société en général?
Bon visionnage!
J'ai mal au travail 1
envoyé par revolution2
J'ai mal au travail 2
envoyé par revolution2
J'ai mal au travail 3
envoyé par revolution2
J'ai mal au travail 4
envoyé par revolution2
J'ai mal au travail 5
envoyé par revolution2
29 octobre 2008
One week to go
27 octobre 2008
Quand je serai grand, je serai Matteo Alaluf.
21 octobre 2008
C'est fou...
- MARIE ARENA SERA L'INVITEE DE LA FBJS ce jeudi soir à partir de 21H dans notre local de la rue de la Croix de Fer (Maison de la Laicité Lucia de Brouckère, métro Madou ou Parc). Venez nombreux pour discuter avec elle de son bilan, notamment dans le domaine de l'enseignement en Communauté Française. Cette rencontre marquera le coup d'envoi des Travaux de la FBJS en vue de sa contribution aux programmes socialistes pour les élections régionales et européennes de juin prochain.
- Dans le même registre, j'animerai les GT "Logement" et "Relations Internationales" de la FBJS. Au même endroit, sauf contre-ordre. Premières réunions: le 30 octobre 19h (International) et le 3 novembre 19h (logement). N'hésitez pas à confirmer votre présence!
- Et puisqu'on parle de logement et de taf... Ceux qui se demandent ce que je fous de mes journées pourront trouver des éléments de réponse sur le site du Plan 1000 logements de la Ville de Bruxelles. Il aura fait suer tout le monde au cab' mais ça y est, il est en ligne!