29 juin 2008
Temps mort.
Aspiration.
Grésillement.
Un point rouge dans la nuit.
Deux volutes bleues qui troublent un peu la lumière des étoiles.
Et je devrais arrêter de fumer???
03 juin 2008
Com' de Presse de Mélenchon
Le congrès du PS va-t-il se résumer à une course à : « plus libéral que moi tu meurs » ?Tout porte à le croire. Ségolène Royal, Bertrand Delanoë, Manuel Valls c’est la surenchère permanente.Comment empêcher le centre de gravité du parti d’être aspiré par ce trou noir ? Cette ligne politique est mortifère. En Italie, elle a produit la défaite et l’éclatement de la gauche en camps inconciliables.En France, la gauche du parti socialiste a une responsabilité essentielle pour bloquer ce processus.J’adjure le NPS d’Henri Emmanuelli et Benoît Hamon d’entendre les appels au rassemblement de la gauche du parti que je leur lance. Que le souvenir de la division des partisans du non et de la synthèse trompeuse du congrès du Mans nous serve de leçon. Elles nous ont condamnés à l’échec à l’investiture aux présidentielles. Chaque occasion manquée par la gauche du parti condamne le PS à un nouveau glissement social-libéral, condamne la gauche à la défaite et donc le pays à la souffrance sociale.Il n’y a pas de PS ancré à gauche sans une gauche du PS qui s’assume et se bat ouvertement et dans l’unité pour ses idées.Il faut une gauche au PS. Ou il n’y aura plus de PS de gauche. Alors Sarkozy aura gagné sur tous les tableaux.
15 avril 2008
Un peu d'air frais...
Cette semaine, le PSE m'a demandé d'être le "Blogger of the Week" sur leur site consacré au manifesto 2009. Donc, si vous vous ennuyiez de ma prose, je vous invite à aller me lire là-bas. Si vous ne vous ennuyiez pas de ma prose, le site accueille aussi nombre d'autres intervenants et mérite donc le détour.

21 mars 2008
Position du MJS lors du congrès de participation du 19 mars 2008
voici, pour l'édification des masses, la position défendue par le MJS lors du congrès du PS:
Chers camarades,
Notre parti vit des moments difficiles depuis près de deux ans. Et en tant que Jeunes, nous sommes convaincus que nous avons un rôle important à jouer dans le redressement de la situation.
A travers notre rôle d’aiguillon et notre ton parfois radical ou caustique, nous allons toujours dans le sens des valeurs du socialisme, de ce qui constitue à notre sens l’intérêt du parti qui les défend et des militants qui le composent. Et c’est ce soir encore la ligne que nous voulons défendre.
Des quatre coins du MJS nous revient un écho unanime : nous sommes forcés de constater qu’aucun jeune militant n’est heureux du déroulement des événements de ces derniers mois. Beaucoup nous disent qu’ils ont l’impression que notre parti s’accroche plus au pouvoir qu’à la préservation des vraies valeurs de gauche qu’il est censé défendre.
Beaucoup s’étonnent également de l’insistance avec lequel le Parti a ferraillé – allant jusqu’à en faire une condition de sa propre participation – pour que le CDH monte au Gouvernement fédéral provisoire, qui se transformera peut-être demain en Gouvernement définitif.
Mais était-ce bien notre place
« Devons-nous monter dans ce gouvernement fédéral? Oui ou non? ». En ce qui nous concerne, on est en tout cas plus proches du non que du oui. Un non que nous avions d’ailleurs déjà émis dans une résolution prise lors notre congrès du MJS le 1er décembre 2007.
Je vous parlais tout à l’heure du CDH. Parlons maintenant du SPA. En tant que Jeunes et Socialistes, nous espérions que le PS attacherait plus d’importance à une incassable alliance avec notre parti frère du nord du pays. Cette alliance, voilà le vrai symbole de notre attachement à l’unité du pays, voilà la preuve de notre conviction que la défense des gens et du socialisme transgresse les clivages communautaires et qu’il y a une valeur ajoutée à la Belgique. Sans le SPA dans cette coalition gouvernementale, nous sommes comme la tâche de vin sur une Orange bleue.
On nous demande ce soir de nous prononcer sur la participation des Socialistes au Gouvernement. Je ne vous cache pas que cette participation éveille chez les JS une foule de questions qui peuvent se résumer à celles-ci : « Monter au Gouvernement sur quelles bases ? et pour y faire quoi ? »
Il est évident que, dans une négociation menée sans avoir posé au préalable de lignes rouges infranchissables, toute avancée est à considérer comme un succès.
Et des avancées, bien sur, il y en a.
Je pense que Laurette avec son plan Cancer, son dynamisme et sa hargne va dans la bonne voie.
L’élargissement du Fond Mazout de Christian Dupont est une mesure nécessaire dans une période où le prix de l’énergie ne cesse de flamber.
Paul Magnette est le « jeune » de l’équipe mais il contre avec talent certains slogans électoraux vides du passé. Aujourd’hui grâce à lui en matière d’environnement et de climat, « quand c’est rouge, on avance ».
Nous nous réjouissons de ce que le quatrième motif de recours à l’intérim soit passé à la trappe. Et plus encore de ce que le service minimum ne soit plus qu’un souvenir : le droit de grève est sauf !
Mais l’accord actuel apporte autant de questions que de réponses.
Ainsi des sans papiers.
Le MJS s’est rendu auprès des sans-papiers qui logeaient dans un bâtiment de la Communauté française à la rue Royale. Ceux-ci ont bénéficié après quasiment cinquante jours de grève de la faim d’une solution provisoire pour rester sur notre territoire. Combien de temps encore le PS va-t-il laisser de telles injustices se dérouler dans notre pays dit démocratique?
Bien sur, nous nous réjouissons de ce que l’accord prévoie les attaches durables comme un critère de régularisation. Mais comment les isolés établiront-ils ces attaches durables ? Et si une commission doit en juger, malgré l’opposition d’un VLD vindicatif bien que perdant des dernières élections, de qui sera-t-elle composée ?
Bien sur, nous sommes soulagés d’apprendre que les allocations de chômage ne passeront pas sous les minima actuels – mais pour autant cela veut-il dire que les allocations ne diminueront pas dans le temps, fut-ce pour arriver au minima actuel ?
Il va de soi que nous nous réjouissons d’un assouplissement du numérus clausus. Mais ce n’est qu’un premier pas : c’est une fin définitive qu’il faut mettre à ce système.
Sur le thème important du pouvoir d’achat, on nous assure que les allocations de base atteindront, à terme, le seuil de pauvreté européen. C’est bien le moins ! Mais ce terme, quel est-il ? Et quelle garantie de moyens a-t-on de voir ce but atteint prochainement ?
La mobilité « durable » sera encouragée soit par la gratuité des transports en commun, soit par un remboursement intégral des titres de transports par les employeurs. Suivant quelles modalités ?
Et pour revenir sur le dossier de l’énergie, on nous dit que le Gouvernement pourra intervenir en cas de « dérapage » des prix… Comment un tel dérapage sera-t-il défini ? Et quelle action pourra-t-elle être menée ? Un retour à la fixation du prix, comme c’était le cas pour le pain jusqu’il y a peu ?? Avec compensation financière pour assurer les marges des producteurs ?
Mes chers camarades,
Pour conclure, vous aurez compris que nous sommes extrêmement critiques par rapport à la montée du PS dans ce gouvernement fédéral « provisoirement définitif ». Nous pensons que nous allons être la cinquième roue d’un carrosse orange bleue et nous sommes déçus de ne pas avoir à nos côtés nos « camarades » du SPA.
Bref, sachez que nous, Mouvement des Jeunes Socialistes, notre rôle n’est pas de dire que tout va bien au PS lorsque nos jeunes militants ne se montrent pas satisfaits de la situation actuelle.
Ici, nous voulons surtout poser les questions qui inquiètent les jeunes et lancer par rapport à celles-ci un important signal d’alarme. Notre parti aurait plutôt selon nous intérêt à prendre un peu de recul en vue d’une plus grande reconstruction. Cependant, si pour la majorité de ses membres, le bien-être du parti passe par une montée dans ce gouvernement, nous assumerons, loyalement, notre rôle de soutien critique. C’est pourquoi j’en finirai en demandant, au vu du caractère flou de l’accord qui nous est présenté aujourd’hui, que soit organisé, annuellement, un congrès national d’évaluation du travail de la majorité, dans des circonstances permettant à toutes les fédérations de se prononcer avant la tenue de celui-ci, dans le respect des statuts du parti.
Je vous remercie.
11 mars 2008
Test - ça y est je devrais arriver en fin à mettre des pdf en ligne
Il est possible que vous ne parveniez pas à lire le document ci-dessus: c'est sans doute que vous n'avez pas de lecteur flash, ou que le vôtre n'est pas à jour. Vous savez ce qu'il vous reste à faire!
10 mars 2008
"Journalisme" économique ta mère!

03 février 2008
Vacances!
On ne le voit pas venir, le fourbe, le sournois, qui s'insinue en rampant à chaque activité et qui finit par vous tomber dessus comme le ciel sur la tête de l'innocent Gaulois en ballade à Alesia (ne me demandez pas où c'est, personne ne sait où se trouve Alesia. Gergovie, oui, ça on sait. Mais Alesia, non).
Et pourtant, il y a un truc radical pour en venir à bout d'un coup sec, une recette miracle, une des plus belles inventions du Front Populaire: des congés payés! Ca va faire tout de suite trois ans que je n'en avais plus pris pour moi - c'est à dire que chaque congé passait dans les activités internationales - et bien, y a pas à dire, une semaine ça requinque.
Je reviens plus tard sur la question, considérant que mon colocataire et sa copine s'installe devant un bon film (on ne va pas leur en vouloir: c'est vacances pour tout le monde.) Donc je me replie dans cette partie de la maison sans internet - mais aussi au calme.
07 novembre 2007
Sur les 15 ans d'Ecosy (II)

Antonio Gambini, ECOSY bureau member, 1999-2003
I am grateful for this opportunity to contribute to ECOSY's debate by sharing a few reflections with the readers of this book commemorating the 15th anniversary of ECOSY.
What impressed me the most when I joined ECOSY bureau, with comrades such as Anders Lindberg, Luke Akehurst, Pierre-Antoine Molina, Alexandra Kramm, Federica Mogherini and Enzo Amendola, to name but a few, was the very high level of the political debate. In a later life, hearing debates in "higher" circles of the European socialist and social democratic family, such as the PES Group in the European Parliament, I have, quite frankly, never been that impressed.
At that time, the most lively debated issues were European federalism, European defence, "society issues" (drugs mainly) and of course enlargement.
But today another range of issues have emerged powerfully. Issues such as purchasing power, linked to stagnant wages and increase in prices of basic necessities (housing, energy, food, healthcare), or the organisation of the "labour market" (as they say), linked with flex-security. This should be a welcomed development for us, as these concerns are, historically, our "speciality". However, electoral campaign after electoral campaign, we seem to lose ground, not only to our traditional conservative and liberal opponents, but also, in a few cases, to political forces on our left.
The role of a socialist political youth movement, and its contribution to the overall family, should also be that of breaking new ground in terms of ideas. Other comrades have to run governments, ensure visibility of a message in the media, organise electoral machines.
Now more than ever, the European socialist and social democratic family needs the input of the young European socialist movement, able to overcome gridlock by majority voting, ambitious enough to tackle the challenges of the day and courageous enough to convince and campaign despite the scepticism of party leaderships.
Sur les 15 ans d'Ecosy
Dans 2 semaines, ECOSY célèbrera son 15ème anniversaire sur le site qui l'a vu naître, à La Haye. (Si vous voulez y assister, il n'est pas définitivement trop tard mais il est vraiment plus que temps, faites vous connaitre au secrétariat du MJS - 02/512.12.18)
En avant-première mondiale de la publication qui marquera cet évènement, je vous livre les contributions de deux figures historiques d'ECOSY et du MJS Belge.
La première est celle de Yonnec Polet, ancien secrétaire général des jeunes socialistes européens et aujourd'hui conseiller politique du Parti des Socialistes Européens.
On the road to an enlarged organisation with higher ambitions
Yonnec Polet, Secretary General, 1999-2001 and 2001-2003
Bureau member, Vice President and twice Secretary general; no surprise that ECOSY played an important role in my life. Being involved in ECOSY, you always remember the excitement of working and sharing political adventures with people from all over the continent. ECOSY is a political experience but it is also a living experience. I do not know any group where you can have so much fun while at the same time having so many interesting discussions, campaigns and common struggles. I have met many interesting people and I have been enriched by all these encounters. I would like in particular to mention Hugues Nancy and Jan Krims, both Presidents during my mandates, and also Philip Cordery and Pau Solanilla, my predecessors, for their precious cooperation. ECOSY could not have been that dynamic without Frida Lopez, who contributed greatly in the organisation‘s work.
The period 1999-2003 was a very interesting political time and the existence of ECOSY goes alongside the evolution of the European integration process. Europe and Social democracy were sailing through new horizons. In 1997, most of our parties came to power, with a number of unprecedented victories described as the pink wave. Unfortunately, the centre-left majority did not take advantage of the situation. The period of dominance for progressive governments did not last for long; the right wing parties quickly developed strong rhetoric while also playing with people’s fears, migration, insecurity and terrorism in the lead. Conservative thinking conquered public opinion and, except for a few exceptions, the pendulum leant to the right. The end of the 90s triggered extensive talks about this new period of historical importance. It was a moment of reflection for the Future of Europe and a decisive time for the European integration project. Looking back, I believe ECOSY adopted the correct political approach at that time.
With the upcoming European Enlargement, we were denouncing the two trends threatening the EU project: First, a less solidaristic EU where the motto “I want my money back” and the “juste retour” that undermined solidarity between countries and people; Second, the risk of a paralysed EU, incapable of overcoming its political divergences as the number of member states was about to increase dramatically. The convergence of these two trends prevented the EU from adopting the correct strategies towards the harnessing of globalisation. This dynamic increased the fears of the EU citizens in relation to their ability to compete on a global market as well as the impact of Eastern European workers, perceived as weakening further their standing in the EU labour market. This was the time when the EU should have given a clear signal on the irremissibility of the three European integration equal pillars: Economic growth, social progress, democratic culture. As good as it was, the Lisbon strategy did not answer our citizens concerns. The slogan of the 5th Congress in Vienna in 2001 “Europe for the people not for profit” made clear Europe’s obligation to take people’s concerns into account. In that sense, ECOSY was vocal during the Youth Convention in 2002, in the run up to the drafting of the new European Constitution, for its insistence on raising the issue of a Social Europe. Unfortunately the President of the Convention did not consider the youth demands. The referendum in France and in the Netherlands demonstrated that the European Social model needed the guarantees that a Social Treaty could have provided.
How did the period of EU enlargement affect ECOSY’s development? It was the time of ECOSY’s own enlargement; a positive move to integrate new member organisations from Central and Eastern countries, giving more credibility and legitimacy to the organisation. We had launched a successful Working group, which laid strong foundations for the subsequent enlargement of ECOSY.. I should also mention that the former debate between tenants of ECOSY and of the European section of IUSY was vanishing, with a consensual view of the relevancy of ECOSY. At that time, the PES did not follow our request of enlarging itself to Central and Eastern parties. I believe it was a mistake, as it would have accelerated their preparation for EU admission and their ability to take up challenges before their citizens. Today, the PES member parties are going trough difficult moments in the “New Europe”. It might be a point of reflection regarding an early integration of parties and youth organisations from the Western Balkans.
In these four years, ECOSY doubled the number of member organisations and of events, and more than tripled the number of participants to its events. It was a period of innovation: the first Leaders Conference (in Brussels), the first Winter University (In Werptfhul), the first large Conference between Congress (in Arnhem), the first event in the Balkans (in Belgrade), the first Euro-Arab Dialogue (in Beirut with IUSY), and the first summer camp with more than a thousand participants (in Attersee). What a growth! It was also a period of solid cooperation with IUSY’s Presidents Umberto Gentiloni and Alvaro Elizalde and Secretary Generals Lisa Pelling and Enzo Amendola on different matters; delegations in the Middle East, our relations with social movements, papers on the rise of far right movements and involvement in the Western Balkans. ECOSY and IUSY have a mutual interest in such synergies which consolidate the social democratic youth movement.
This period of positive transformation had consequences on the functioning of ECOSY and, later on, its political orientation. I always considered that one achievement of ECOSY is the feeling of ownership of each member organisation. The principle of equal representation of member organisations, although not perfectly democratic in terms of membership size, is a guarantee to give space to smaller organisations. The debate at that time on amending the statutes was difficult as the member organisations were divided regarding the accuracy of changing this very fundamental characteristic of the organisation. Let us add that ECOSY’s great asset relies upon its majority voting system, which has contributed to the creation of real political debates in the organisation as well as to the adoption of visionary positioning. .
One must also underline the change in ECOSY’s political orientation. European social democracy was nurtured by the debate on the Third way and the reform of social-democratic thinking. If that debate in itself, between pros and contras, was not on the agenda, the organisation saw a shift in terms of political leadership. It was not only the reflection of an enlarged organisation but of the political orientation within our mother parties.
If ECOSY did not enter the debate regarding the Third way, it made a clear decision to debate with the new social movements for another globalisation. Our presence together with IUSY in Porto Alegre (tens of young socialists), Firenze (a thousand ECOSY people) and other Social Forums paved the way for the participation of the social democratic family. Points of divergence with the PES emerged at times but today we can gladly observe that the Global Progressive Forum is member of the International Council of the WSF. Today, the World Social Forum has lost its dynamism but we should not undermine the role it played and its potential. We have been amazed by the number of young people attending the European Social Forum of Paris, London and Athens. ECOSY has a role to play in fostering convergence among progressive people and promoting our ideas in these forums.
Being present in these forums is also a way to increase the visibility of ECOSY. I must confess that it was always difficult to reach large audiences and mainstream media. Organising campaigns, in other occasions than those of European elections, was a breakthrough in this regard. The objective was to pass our message and to reach new people: “Education is our future”; “Fighting social injustice”; “Enlarged Europe”. It was one more means to advance on the way to an ever-integrated organisation.
At the end of the day, our objectives are simple: influencing EU politics and getting more people on board. Were we successful? We have put a lot of effort to influence the PES and the PES Group. We have not always achieved our objectives, yet this is the best way for ECOSY to be influential: raising awareness, stimulating raising discussion and contributing to the drafting of documents.
ECOSY will benefit from a generational process: more and more ECOSY veterans will achieve high functions in their respective parties. This will help the organisation grow. Already today, several MEPs have a background in ECOSY. It is now the responsibility of the current generation to use this network profitably.
Concerning reaching new audiences, ECOSY has always had the inherent problem of international organisations: Being the business of a small group of people, far away from the interest of the leaders, distant from the members. ECOSY should always pay attention not to fall in that trap. As ECOSY takes its strength from its member organisations and from its grassroots members, a good combination of the two must be the objective. Involving leaders is as important as reaching the grass roots. The question of individual membership was not further developed because of obstacles in terms of implementation. Was that a missed opportunity? Time will tell, but in the era of mass communication, all means of involvement should be envisaged.
Mandate after mandate, the same issues are faced; visibility, influence, front runner in thinking and acting. It is the destiny of each political movement. I am confident that you will demonstrate that European Young socialists are ready to take up the challenge and promote our ideas. I am proud to observe that ECOSY is growing steadily and got recognised as a credible interlocutor in the European Social democratic family and outside, in the European Youth Forum, with European organisations and in the World and European Social Forum (with the GPYF).
ECOSY is a great tool for progressive young people, with great achievements we can be proud of. It has always been a front runner in European policy: integrated, innovative, democratic. Let’s continue the adventure started in 1992: Europe needs a strong voice for young people! Europe needs ECOSY!
22 octobre 2007
Guy Môquet, texte alternatif.
Vous êtes tous trois enfermés
Les traïtres de notre pays
Main dans la main Révolution
Ils se sont sacrifiés pour nous
28 septembre 2007
I want to ride my bicycle!

People, Workers and Union often feel completely helpless when comes the announcement of delocalisations. The factory is to close down, and the only thing you can still fight for is a decent compensation or the activation of public funds to help you out of the labour market (early retirement schemes, etc...) or to recycle into a new job.
But if one or the other was to advance the idea to get the production running again on a self-organised pattern, he would more often than not hear comments like "this is not Argentina, this is not an option". Well, it would seem that some people in Germany know better.
When the owners of Bike System GmbH, Nordhausen (Thuringen), decided to shut down the iron curtain on their production line, the workers decided to pick it up and to organise the production and distribution of their own "strike bike". If they manage to have 1800 of those ordered by october the 2nd, they will not only secure the survival of their jobs. They will also show that other organisation of the labour market is actually possible, even in our post modern west.
If you have any say in any kind of organisation with access to some financial ressources (especially in Germany), help them out, and bike your way to socialism: each bike costs 275 euros only... All the details and procedures are here
26 septembre 2007
Update Birmanie
RANGOUN (AFP) - La junte en Birmanie a commencé mercredi à réprimer le mouvement de protestation mené par des bonzes contre le régime militaire, faisant charger des dizaines de milliers de manifestants à Rangoun où au moins quatre personnes -un civil et trois moines- ont été tuées et cent blessées.
Trois autres civils ont été blessés par des balles tirées par les forces de sécurité, a indiqué à l'AFP un responsable hospitalier. Parmi ceux-ci figure une femme atteinte à la poitrine.
Dans des incidents distincts avec les militaires et policiers, au moins trois moines bouddhistes ont été tués, selon un responsable birman ayant requis l'anonymat.
Un bonze a été tué par un coup de feu alors qu'il tentait de désarmer un soldat et deux autres religieux ont été battus à mort, a dit cette source.
Un second responsable a précisé que les incidents avec des bonzes s'étaient notamment produits près de la célèbre pagode Shwedagon, point de ralliement des moines qui ont pris la tête de défilés quotidiens contre la junte depuis le 18 septembre à Rangoun.
Une centaine de manifestants, dont la moitié de bonzes, ont aussi été blessés, selon des témoins.
Par ailleurs, quelque 200 personnes ont été arrêtées, selon ces sources.
Parmi celles-ci se trouvent au moins une centaine de moines, selon un diplomate étranger.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a été convoqué d'urgence pour des consultations sur la Birmanie mercredi à 15H00 (19H00 GMT), a annoncé à New York le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner, dont le pays assure ce mois-ci la présidence tournante du Conseil.
D'autres pays ont fait part de leur sérieuse préoccupation.
Le parti de l'opposante Aung San Suu Kyi, assignée à résidence depuis 2003, a déclaré que le régime militaire avait commis "une faute irréparable" au regard de l'Histoire, en chargeant des manifestants pacifiques, dont des bonzes.
Les premiers incidents ont été signalés vers 12H00 locales (05H30 GMT), lorsques les forces de sécurité ont chargé quelque 700 personnes, principalement des étudiants mais aussi des bonzes, qui commençaient à se rassembler non loin de la pagode Shwedagon. Les manifestants ont été frappés indistinctement à coups de matraque.
Un peu plus tard, dans le quartier de la pagode Sule, des policiers et des soldats ont tiré en l'air et ont fait usage de gaz lacrymogène, alors que des milliers de civils ovationnaient un millier de moines qui arrivaient, selon des témoins.
Les policiers et les militaires présents ont alors procédé à des tirs de sommation.
"Ils insultent même notre religion et nos moines", a protesté un quinquagénaire en s'enfuyant à l'écart des nuages de gaz lacrymogène.
Une heure plus tard, des dizaines de milliers de personnes, dont des bonzes, se regroupaient ailleurs dans le centre-ville, tandis que des tirs de sommation retentissaient dans d'autres quartiers, selon des témoins.
Confrontés à une montée en puissance des manifestations menées par des moines bouddhistes - 100.000 personnes sont descendues dans les rues respectivement lundi et mardi -, les généraux ont profité de la nuit de mardi à mercredi pour annoncer par haut-parleur un couvre-feu entre 21H00 à 05H00 locales (14H30 à 22H30 GMT).
La première ville de Birmanie a aussi été placée sous un régime d'accès restreint, un statut spécial ressemblant à l'état d'urgence. Mandalay, deuxième ville du pays située dans le centre, a fait l'objet des mêmes restrictions.
Plus tard dans la nuit, deux personnalités soutenant le mouvement de protestation, Zaganar, le plus célèbre des comiques birmans, et Win Naing, un homme politique modéré ont été arrêtées à leur domicile, selon leurs proches.
Ces deux personnalités avaient été vues ces derniers jours à Rangoun en train d'offrir de la nourriture et de l'eau aux moines qui défilaient.
Le mouvement de protestation avait débuté le 19 août par des opposants après une augmentation massive des prix.
Burmese Days II: action à Bruxelles
2. Une rencontre officielle entre M. Verhofstadt et M. Sein Win, premier ministre du Gouvernement démocratique birman en exil, pour envoyer un signal clair de collaboration avec les vrais représentants du peuple birman.
3. Le départ immédiat à Rangoon de M. Gambari, Envoyé spécial du Secrétaire général de l'ONU, pour négocier une transition démocratique avec les généraux.
12 septembre 2007
Pas de liberté pour les ennemis de la Liberté!
Si Nicolas se prend pour Robespierre* et Rémi pour Casanova, moi qui reste le plus fier, je me prends avant tout pour moi. Mais quand je lis ce que je lis, je n'ai pas de souci à mettre mon orgueil de coté et à me la jouer Saint Just.
Résumé des épisodes précédents: une plateforme européenne qui regroupe tous ce que l'Union compte de dingues fascisants décide de lancer une manifestation contre "l'islamisation de l'Europe". Le 11 septembre, histoire de ne pas faire dans l'amalgame de mauvais goût. Non c'est vrai sans blague, ils auraient aussi pu choisir le jour de l'assassinat de Théo Van Gogh ou celui de l'indépendance de l'Algérie mais apparemment, non, le 11 septembre, ce devait être plus neutre, sans doute. Inutile de préciser que le mot d'ordre fait le tour de l'Europe nazillonne et que les blokkers se voyaient déjà défiler main dans la main avec blood&honour et autres mononeuronés du même tonneau.
Bref, le sang du Bourgmestre de Bruxelles n'a fait qu'un tour, et c'est bien logiquement qu'il a dit: pas de ça chez moi! Donc, la manif est interdite. Sauf qu'un facho normalement constitué, quand ça a déjà réservé son billet de train, ça ne s'arrête pas à une interdiction. Et voila que ces guignols maintiennent leur promenade avec drapeaux, bottes cloutées et casques à pointe. (Ah non, c'est vrai, pas les casques à pointe, qu'ils ont dit dans l'invitation.) Et que deux leaders de l'extrême droite flamande se débrouillent pour se jeter dans les pieds de la police sous le regard avide des photographes venus spécialement pour ça.
Mais alors ce qui me tue, c'est le tir de barrage auquel on a droit aujourd'hui dans la presse néerlandophone et dans la blogosphère belge.
Deux grands axes:
1. "Pour la première fois en vingt ans le VB recule, c'est pas malin de lui donner de nouveau l'occasion de jouer les martyrs". Avec en corolaire toute une série de déclinaison du thème "ils sont quand même cons, ces socialistes wallons (lisez francophones), qui ne comprennent rien à la façon de combatrte l'extrême droite".
2. "les vierges effarouchées" qui revendiquent le droit absolu à l'expression de toutes les opinions, aussi répugnantes soient-elles, au nom de la démocratie. Et qui pour un peu laisseraient entendre qu'interdire aujourd'hui les fachos, c'est ouvrir la porte à interdire demain toute forme de contestation.
A lire les deux positions, j'ai l'impression qu'on n'a pas avancé d'un pas dans la prise de conscience du problème "extrême-droite".
Aux uns, il faudrait tout de même signaler que le VB a peut-être arrêté de progresser et a même légèrement reculé lors de ce scrutin. Mais il n'avait pas abandonné sa posture de victime avant d'enregistrer ce revers. Pendant un temps qui parait infini, les médias nordistes ont donné aux fachos du VB la légitimité de n'importe quelle formation politique. En lui ouvrant ses colonnes et ses antennes. Résultat? Le VB reste le deuxième parti en Flandres. Un martyre que personne ne relaye ou n'écoute, ça ne va pas bien loin... "Wat we eigen doen, doen we best"? Voire...
Aux autres, je me reconnais dans la position de principe. Mais arrêtons de rire. Dans les années 30, les pacifistes et une partie des libertaires ont raté le rendez-vous avec l'anti-fascisme à cause de cette position. Philosophiquement c'est très bien. Mais on n'en est plus là.
C'est l'honneur d'une démocratie de laisser la parole à ses critiques les plus durs. Mais c'est son devoir et sa raison d'être de défendre les droits de tous ses citoyens. Alors l'interdiction de l'incitation à la haine raciale, sous quelque forme que ce soit, c'est une mesure de salubrité publique. Les actes de violence ne tombent pas du ciel. Ils sont aussi le résultat d'une propagande déterminée. Les mots tuent. Ils ont un pouvoir (en tout cas j'espère, sinon je me demande pourquoi je me casse la tête à pondre des articles ici...).
Attention, je ne dis pas que la l'interdiction est une fin en soi. La lutte anti-fa, elle passe aussi par les luttes sociales. Par la démocratie socio-économique. Par un travail d'éducation, d'information, de conviction permanent.
Mais quelle est la réalité aujourd'hui? La réalité c'est qu'un des leaders d'un cartel, assis à la table des négotiations gouvernementales, peut dire à la presse "M. Machin parle peut-être néerlandais mais ça ne suffit pas à en faire un Flamand". Schild en Vriend, ça ne suffit plus. Qu'est-ce qu'il lui faut? Que M. Machin lui prouve que ses grand-parents sont tous nés à Turnhout? Qu'il est supporter du Club de Bruges de père en fils depuis dix générations? Il doit être capable de boire 5 Duvel d'un coup tout en chantant le Vlaamse Leeuw debout sur un pied au sommet de la tour de l'Yser?
La réalité c'est que les thèses d'extrême droite s'installent tranquillou dans les discours des partis traditionnels. Et qu'il est plus que temps de dire "stop!"
Voila, je vais passer pour un pragmatique ou pour un vieux stal' (par quoi il faut passer, j'vous jure). Mais aux Voltaires du jour, "qui ne sont pas d'accord avec ce que vous dites mais qui sont prêts à donner leur vie pour que vous puissiez le dire" mon message est simple. Si ceux d'en face gagnent la partie, pas de souci. Des occasions de donner votre vie, vous n'en manquerez plus.
A plus d'une reprise, je me suis retrouvé du mauvais coté des matraques. Et ce n'est pas celui de la poignée. Je me doute bien que ça m'arrivera encore, au vu du durcissement des répressions des mouvements sociaux. Mais faut pas tout confondre: je ne vais pas aller dire qu'on devrait laisser les fachos marcher au pas dans les rues pour autant. Je refuse de me faire leur complice, à quelque titre que ce soit.
Je suis pour un anti-fascisme radical. Pour la pitié ou les grands sentiments, on attendra d'avoir gagné.
*Encore qu'avec son histoire de se mordre les dents, il hésite entre Whitman et Freud...
11 septembre 2007
Ce sont toujours les meilleurs qui s'en vont...

10 septembre 2007
Ca bouge au SP.a!

04 septembre 2007
Réjouissez-vous, vous allez pouvoir glander utile et militant, désormais: le MJS vient d'ouvrir un groupe sur Facebook. Fatigué d'attendre la réunion mensuelle de votre section ou la prochaine formation à la mer du Nord pour délirer et réfléchir avec les camarades d'autres horizons?L'annonce du prochain camp d'été pour retrouver Gérard ou Cunégonde qui vous avait mis la tête à l'envers sous les étoiles en vous parlant des luttes à Clabecq?
Et bien n'attendez plus: ouvrez-vous un compte et rejoignez nous: http://www.facebook.com/group.php?gid=4940529110
NB: Et si votre principal intérêt est de parler de politique et de socialisme dans un contexte belge, que la description ci-dessus ne vous fasse pas reculer non plus ;)
03 septembre 2007
Et pour un autre regard...
La Rochelle - bis
Bien, de retour à Bruxelles, quelques mots supplémentaires sur le week end que je viens de passer à La Rochelle.
Et tout d'abord, encore un grand merci aux camarades du MJS France pour leur accueil, leur enthousiasme militant et leur sens de la fête... Antoine, Benoit, Etienne, Estelle et toute la clique, c'est toujours un plaisir de mener des activités politiques avec vous.
Reprenons dans l'ordre. Le thème de l'univ d'été du MJS France: "Droit d'inventaire, Devoir d'invention". Après la défaite de Ségolène aux dernières présidentielles, les désertions diverses et variées et les engueulades internes dont le PS français a le secret, le MJS semble vouloir sortir de la période d'auto-flagellation de son parti-mère pour préparer la suite des évenements.
Une excellete idée s'il en est. Mais après ces trois jours d'observation, je dirais que c'est pas gagné d'avance. Premier signe: la traditionnelle rencontre MJS / François Hollande pour sa dernière univ d'été comme premier secrétaire du parti. Pas de réponse à la question "quel est ton bilan après 10 ans aux commandes du parti?", une profession de foi dans les vertus du marché ("du marché autant qu'il en faudra" tempéré - tout de même! - par un vague "mais pas dans tous les secteurs" ce qui laisse pas mal de marge pour le recul du public...), ...
L'impression générale est que, pour les militants socialistes présents comme pour les cadres, la rénovation du parti passera par la réforme de la structuration du parti. Souvent visés: les courants qui traversent le PS français et cristalisent les opositions internes autour de l'une ou l'autre figure de proue. Pour certains, l'abolition de cette forme d'organisation permettrait de réunir tout le monde autour d'un projet commun. Quand on pense à ce qu'a été le processus d'unification du PS français et quand je vois ce à quoi mène le système majoritaire en place chez nous, je crois que les partisans de cette solution s'engagent sur la mauvaise voix. Enfin, les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Deuxième sujet d'inquiétude: l'atelier "quelles stratégies de conquête majoritaire chez nos camarades du PSE". Animé par Alain Richard (MEP), il faisait intervenir des représentants du PSOE, de la DS italienne et du SPD allemand. Soit deux représentants de parti en coalition avec les chrétiens ou carrément en voie de fusion avec eux et un troisième uni derrière un projet éthique impeccable mais plus flou sur les options économiques (et dont il faut bien dire que le succès initial est sans doute plus lié aux attentats de Madrid qu'à son programme, n'en déplaise à certains). Je reviendrai ailleurs sur le cas italien.
Avec toujours cette forme de nombrilisme hexagonal. Et le regret de ne pas élargir la discussion plus loin. Le nombre de parti socialistes au gouvernement en Europe est ridiculement faible, est-ce qu'on s'est demandé si certains n'étaient pas dans l'oposition en utilisant pourtant les mêmes recettes que ceux qui se sont maintenus au pouvoir? Et, cerise sur le gâteau, des doutes clairement exprimés par Richard sur la construction d'une europe fédérale.
Puis un atelier plus encourageant (organisé par le MJS) sur l'afrique des grands lacs et la politique française de coopération au développement. Si la Françafrique est clairement remise en cause, il reste cependant à réfléchir à une politique de coopération qui soit réellement axée sur l'autonomisation des peuples plutôt que sur le maintien d'une sphère d'influence nationale.
Enfin, les discours de cloture. Celui de Razzye, tout d'abord. Surprenant de l'entendre remercier à la tribune le parti pour l'autonomie du MJS - mais soit. Excellente intervention sur le devoir pour notre génération de "refermer la parenthèse de 1920". Maintien à l'agenda des questions relatives au pacte de stabilité. Et surprenant intérêt particulier sur la Tunisie. Je ne veux pas dire que la Tunisie n'est pas une question sur laquelle il faut se pencher, mais bien que c'est l'ensemble des relations Europe Méditerranée qui doivent être approchées en profondeur. Ne fut-ce que d'un point de vue énergétique, ça vaut le détour. D'accord don sur la relance du processus de Barcelone.
Long discours de Hollande. Et puis retour à la maison.
Conclusion? Il y a clairement pour moi un problème d'identité pour la gauche socialiste en Europe. Et la crise que traverse le PS français en participe. Et si je me réjouis que les signaux à La Rochelle vont vers la reconstruction d'une gauche plus large et plus unie, je crains que cette volonté ne reste lettre morte si elle se limite à un raprochement d'apareils. Ce qui fait la force d'un parti de gauche, c'est sa capacité à être un parti de masse et à travailler avec les autres organisations de masses qui partagent ses options politiques. Pour faire avancer le schmilblick dans la direction proposée, le PS français devra d'abord être capable d'ouvrir ses portes aux français dans un processus d'adhésion important et surtout être capable de raisonner en dehors de la seule sphère du personnel politique gouvernemental. Les grands absents de ce week-end étaient, encore une fois, les organisations syndicales (quand bien même on ne puisse pas dire que nos voisins d'outre-quiévrain se caractérisent par un taux de syndicalisation particulièrement élevé non plus, hélas...)
02 septembre 2007
La Rochelle
Rencontre MJS/François Hollande euh... intéressante, atelier européen avec Pilip Cordery, des espagnols, des italiens et des allemands sur le thème: on croit que ça marche chez eux, et si ça marchait chez nous? (et qui me fait plutôt penser au thème: la gauche en Europe: une machine à perdre ou une course au centre?).
Discussion sur l'afrique des grands lacs avec des camarades ougandais (qui clament 350.000 membres pour leur orga de jeunesse - enfoncés, nos 12.000 membres).
Et maintenant les discours de cloture. Le premier fédéral de la charente maritime est manifestement sorti de l'école du rire (et la députée locale a été recalée à l'examen d'entrée). Je vous quitte pour écouter la suite des évenements...